Dans l'idée initiale du terminal TERCO, les opérations devaient se faire selon le principe d’une manutention horizontale. En effet, une manutention verticale des unités est plus coûteuse, puisqu'il faudrait disposer d’une grue à portique. Les expériences faites dans d'autres terminaux montrent qu'une utilisation d'engins de manutention sur pneus permet une gestion beaucoup plus rationnelle et flexible de la surface disponible.
Sur le plan ferroviaire, quatre voies d'une longueur de travail utile de 240 à 320 m ont été construites. Dans un stade ultérieur, certaines de ces voies pourraient être éventuellement prolongées, en vue d’une affectation particulière ou d’un agrandissement du terminal.